Jean-Claude Larocque
Lauréat du Prix Huguette-Parent 2013
Qui suis-je ?
Je suis un p’tit gars né dans un petit village de l’Est de l’Ontario. Moitié français, moitié anglais ! Langue maternelle : le français. Bien que je sois franco-ontarien depuis quatre générations, mes ancêtres sont originaires de Nevers en France. Ils faisaient partie du régiment Carignan-Salières et ils ont débarqué ici en 1665.
Oui, le français me tient à cœur ! Le désir de communiquer en français m’a d’ailleurs conduit à des études en théâtre, en histoire et en pédagogie. Par le biais de l’enseignement, j’ai pu m’exprimer et transmettre ma passion à des centaines de jeunes. Aujourd’hui, la lecture de mes textes, écrits avec Denis Sauvé, est devenue ma nouvelle arme. Attention, je vous ai dans la mire de mes mots, et toi, tu es la cible d’une attaque massive de langue française… Ose lire, et tu verras !
Publications au sein de la collection 14/18
John et le Règlement 17, 2014 – Prix de la Toronto French School 2014
Étienne Brûlé. Le fils de Champlain (Tome 1), 2010 – Finaliste au Prix du livre d’enfant Trillium 2010 et Finaliste au Prix littéraire Le Droit – Jeunesse 2010
Étienne Brûlé. Le fils des Hurons (Tome 2), 2010
Étienne Brûlé. Le fils sacrifié (Tome 3), 2011
5 questions à Jean-Claude Larocque
- Votre rêve d’enfant ?
Je rêvais de beauté, de paix et de bien-être sous toutes ses formes, artistiques, littéraires, politiques et sociales. Je rêvais beaucoup et rêve encore autant aujourd’hui. - Papier ou ordinateur ?
Je suis un Néandertalien ! Papier, papier, papier. - Un endroit de prédilection pour écrire ?
Mon bureau ! J’y ai passé des siècles à corriger et à préparer des cours ! C’est devenu un lieu de rencontre entre mon imaginaire et mon intellect. - Votre première source d’inspiration pour vos projets d’écriture ?
Puisque j’écris en co-auteur, je dois admettre que c’est l’amitié ma première source d’inspiration. Ensuite viennent les passions : pour l’écriture, pour l’histoire, pour la francophonie… - Un auteur que vous admirez ?
Il y en a trop ! C’est une question injuste ! Enfin, je t’en donne quelques-uns, mais sois assuré que ce n’est qu’une liste sommaire. Bon, il y a Michel Ouellette et Jean-Marc Dalpé, deux amis, l’un, un ancien élève et l’autre, un collègue de l’université. Ok, c’est pas juste, je les connais personnellement ! Je continue, Gabrielle Roy. Quelle plume ! Un rêve ! La précision des mots, les descriptions… Bon, ça va, j’arrête. Mais il y a aussi les classiques, Molière, Racine, Corneille… et que dire de Rostand, Montherlant, Zola. Ça suffit… mais j’aimerais bien continuer !
Un conseil pour un jeune qui souhaite devenir écrivain ?
Commence à écrire aujourd’hui ! Maintenant ! Vas-y, fonce !